Vous pensez obtenir le meilleur de vos équipes ?

Diriger une équipe et la mener au sommet est un exercice d’une immense complexité, ceux dont c’est la mission ne le savent que trop… Mais ils savent aussi que cette complexité est à la hauteur de la satisfaction incommensurable d’y parvenir. Une satisfaction qui tient parfois de l’euphorie !

Le véritable challenge réside dans la capacité du leader / du coach à impulser chez chaque co-équipier ce sentiment puissant et intime que ses capacités réelles vont bien au-delà des limites qu’il se fixe habituellement et qu’il est très excitant de le vivre ! Emotions garanties…

On observe en effet chez la plupart des individus un sentiment de doute, de perplexité voire de découragement face aux épreuves qui leur paraissent très ou trop ambitieuses. Cela tient des croyances, qui sont parfois favorisantes, parfois limitantes. C’est nous qui leur donnons une orientation.

Croire que l’on peut constamment repousser ses limites, surmonter ce qui nous impressionne nous permet de stimuler en nous un besoin puissant, celui d’avancer, de se réaliser, d’exprimer ce pour quoi nous sommes vraiment faits, de se surprendre agréablement.

Dans cette quête d’excellence de soi, qui n’a de référentiel que celui que l’on se fixe (à chacun SON excellence), il n’y a pas de place pour les excuses, pour les complaintes non plus. Sortir de sa zone de confort est, par définition, INCONFORTABLE mais rester dans sa zone de confort est bien pire, cela nous éteint peu à peu. Alors il faut choisir et ne pas se tromper. L’environnement évolue constamment et sollicite toutes nos capacités, toute notre vigilance, toute notre énergie. Ne pas évoluer, ne pas vouloir tendre vers mieux nous expose à disparaître, purement et simplement. La recherche d’excellence n’est pas un luxe, elle est une nécessité dans un monde complexe, mouvant et hyperconcurrentiel.

Mais que l’on se comprenne bien, se dépasser ne veut pas dire être une tête brûlée, un fou furieux et n’a rien à voir avec l’orgueil vantard qui flatterait notre ego. La vraie motivation doit être celle de se trouver, de ne rien regretter plus tard, de découvrir que les limites que l’on se fixe ou que l’on nous fixe sont par essence subjectives et sont faites pour être dépassées. Cela procure un grand sentiment de liberté.

Vous voulez vivre une vie exaltante, pleine et entière, alors challengez-vous en vous fixant des défis qui réveilleront en vous une énergie que vous ne soupçonniez peut-être même pas…

Cette dynamique individuelle positive se prolonge tout naturellement dans la dynamique de groupe ; l’individu se renforce avec le groupe et le groupe se renforce à travers l’individu, en totale interdépendance.

Oui, vous pouvez obtenir plus et surtout mieux de vos équipes, voire beaucoup mieux et en tant que leader, cela doit être un engagement de votre part. Exercez-vous à faire le bien de vos collaborateurs contre leur gré parfois, à les bousculer (pas trop tout de même !) en leur prouvant que la complaisance (qui n’est pas la bienveillance) ne leur rend aucunement service. La complaisance n’est pas un attribut du leader. Le leader élève, un pas après l’autre, avec bienveillance, avec exigence aussi. Vos équipes vous en remercieront en fin de compte, et si elles ne le font pas, vous aurez tout de même fait ce que vous pouviez pour elle.

La petite vidéo qui suit en est une parfaite illustration. N’hésitez pas à la montrer à vos équipes, elles auront vite compris de quoi il s’agit et quels sentiments puissants accompagnent l’ambition !

https://youtu.be/sTzKGF3k2PE

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