Le vrai courage n’est pas d’avoir toutes les réponses, c’est d’oser se regarder en face, d’admettre ses doutes, de s’arrêter avant qu’il ne soit trop tard.
Car courir toujours plus vite, en sachant qu’on fonce droit dans le mur, est la plus tragique des illusions. Être poussé par une force qui nous domine, par l’injonction de « faire plus », n’est pas du courage : c’est une fuite.
Stefan Zweig, ce génie de la pensée et des mots, écrivait : « La tragédie commence quand le héros se ment à lui-même. »
Combien de dirigeants vivent dans cette tragédie silencieuse ?
Le leadership n’est pas un masque d’infaillibilité, c’est une présence qui inspire.
Un espace où les autres retrouvent le goût d’avancer, non par peur, mais par désir.
La transformation ne commence pas avec un plan. Elle commence le jour où vous décidez de ne plus vous trahir.